L’enfance de l’art

Avoir des parents qui dessinent et peignent tout ce qui bouge ou ne bouge pas, ça incite ! Du coup mon père, ma belle-mère, mes deux demi-frères et moi on arrêtait pas. Voici quelques traces de l’enfant, l’adolescent et jeune adulte que je fus.

Mon père et moi, port de Saint-Guénolé 1966

Sculptures planes, bois peint. 1969

Après un mois de service militaire une dépression m’entraina vers la réforme à la suite de quoi mon père me laissa six mois de liberté avant de reprendre la peinture en lettres. Je disposais d’un petit atelier sommairement aménagé où je laissais libre court à ma créativité. C’est ainsi que je commençais à découper mes sculptures planes.